Le 25 janvier dernier, nous annoncions très officiellement le lancement d’Opencell 14. Au programme : webinaire, démos et Q&A. Si vous n’étiez pas présent ou si vous souhaitez vous rafraichir la mémoire, pas d’inquiétude, voici une petite session de rattrapage présentant les highlights de cette version majeure.
Dans cette nouvelle mouture, ce n’est pas moins de 30 nouvelles fonctionnalités qui vous attendent. Gestion en masse des factures, imports en masse de clients depuis des systèmes tiers… L’accent est mis sur l’optimisation de votre temps, la gestion du risque clients et la fluidification du cycle de facturation.
Parmi les fonctionnalités phares de cette version, nous vous proposons de faire un focus sur trois évolutions majeures qui ne manqueront pas d’être enrichies lors de nos prochaines releases.
Qui dit optimisation du cycle de facturation dit accélération des encaissements.
C’est pourquoi nous vous proposons désormais de pouvoir vous concentrer sur le contrôle des factures présentant d’éventuels risques tout en automatisant la validation des autres.
Avec l’introduction de notre nouveau système de règles, rien de plus simple. Vous avez désormais la main pour définir le profil des factures à risque nécessitant un contrôle accru.
Cerise sur le gâteau, un système de quarantaine vous permet de poursuivre le cycle de facturation sans avoir terminé de valider les factures demandant une vérification manuelle.
Prenons un exemple concret…
Partons du principe qu’une facture inférieure à 100€ TTC ne présente que peu de risque.
Vous allez alors définir une règle stipulant qu’en dessous de 100€ TTC, les factures sont automatiquement validées. Et pour les autres, vous reprenez la main.
Ces factures à risques sont clairement identifiées dans l’interface et vous pouvez les vérifier et les valider en quelques clics. Une fois passées en revue, votre cycle de facturation est alors complété.
Dans cet exemple, le risque était défini par un montant de facturation, mais vous pouvez également vous baser sur d’autres critères tels que le montant d’une offre, l’ancienneté du client ou l’ancienneté de son abonnement.
L’arrivé d’un nouveau client présente toujours un potentiel risque. Sera-t-il en mesure de payer son abonnement ? Comment sécuriser d’éventuels impayés ?
Une des solutions est évidemment l’avance de paiement. Le client verse un acompte et une fois celui-ci encaissé, son offre est activée. Simple, efficace et surtout possible avec Opencell 14.
Désormais, vous pouvez définir des règles d’avance de paiement sur vos offres. Ce montant sera automatiquement déduit de la prochaine facture émise au client.
Et pour les risques d’impayés ? Nous avons également la solution. Le fameux dépôt de garantie.
Opencell 14 vous permet de facturer votre client d’un montant faisant office de dépôt de garantie. Ce dernier est bloqué et pourra être restitué à votre client à la fin de son abonnement ou éventuellement recouvrir tout ou partie d’une facture impayée.
Prenons un exemple concret…
Votre client vient de souscrire à une offre accès Internet + TV. Pour pouvoir profiter de cette offre, vous devez l’équiper d’une box.
Lors de l’ouverture du contrat, vous demandez un dépôt de garantie de 100€ qui lui sera restitué s’il vous renvoie sa box à la résiliation de son abonnement.
Une fois ce dépôt encaissé, vous lui faites parvenir sa box et activez son offre. Six mois plus tard, votre client met fin à son abonnement, mais de nature distraite, ne vous renvoie pas la fameuse box. Aucun problème, vous pouvez débloquer le dépôt de garantie pour couvrir les frais associés sans craindre un défaut de paiement.
Déjà introduite sur Opencell 13, la notion d’internationalisation prend encore du galon.
En effet, vous pouvez désormais adapter la devise de facturation de votre client (sans toucher à votre devise de référence comptable) et définir manuellement le taux de change de chaque devise dans laquelle vous souhaitez facturer.
Produits, abonnements, totaux, l’ensemble des montants s’affichent dans la devise de votre client sur sa facture au dernier taux enregistré lors de la facturation.
Evidemment, l’internationalisation ne saurait se passer du multi-taxes. Depuis cette nouvelle version, vous pouvez définir autant de taux de taxes que vous le souhaitez par types de produits, pays, régions ou localités. Encore mieux, vous pourrez définir des taxes composites (%TVA + écotaxe par exemple) pour obtenir core plus d’efficacité.
Ces dernières pourront s’appliquer automatiquement en fonction de l’adresse de facturation de votre client.
N’hésitez pas à consultez le replay de ce webinar ou contactez-nous pour plus d’informations. Notre équipe est à votre écoute pour répondre à toutes vos questions.